Loin des bras de Metin Arditi
Loin des bras de Metin Arditi
(Actes sud /426 pages)
À Lausanne, sur les bord du lac se trouve l'Institut Alderson, pensionnat suisse pour les enfants de famille aisé. Les jours sont difficiles entre les restrictions budgétaire et les enfants retirés, l'année commence mal et l'institut pourrait bien changer de propriétaire. Et pourtant la devise de l'institut ''Tu deviendras'', n'annonce t-elle pas tout un programme ?
Tout comme ma précédente lecture de Metin Arditi, j' ai encore une fois beaucoup aimé son livre. Certes la magie fut peut-être un peu plus dure à fonctionner, j'ai eu besoin d'une bonne centaine de pages pour être totalement plongé dans ce texte.
À mon sens Loin des bras est avant tout un roman fonctionnant sur une structure de huis-clos. Il mêle au fil des chapitres une mosaïque complexe de personnages, évoquant à leurs manières une forme de solitude et de détresse. À chaques chapitres, par ailleurs extrêmement court , on découvre peu à peu des caractères et des secrets. Ces découvertes ont rythmés ma lecture, et curiosité oblige je me suis laissée entraîner par l'écriture morcelé.
Entre succession d'histoire, et portraits croisés, je me suis réfugiées dans deux voir trois fils conducteurs. J'attendais donc avec impatience le retour de Vera la prof d'Italien qui cherche par tout les moyens à faire le deuil de son enfant décédé à l'âge de douze ans, de Gülgül le professeur de danse et de sport qui a quitté la Turquie il y a plusieurs années, j'attendais enfin de retrouver au grand complet l'ensemble du microcosme formant l'institut Alderson.
Et à défaut de trouver l'histoire absolument passionnante, j'ai beaucoup apprécié faire connaissance avec ses personnages si attachants ! C'est sans contexte une belle lecture que je ne regretterais pas ...
Ma note : 3,75/5
3/7
(Actes sud /426 pages)
À Lausanne, sur les bord du lac se trouve l'Institut Alderson, pensionnat suisse pour les enfants de famille aisé. Les jours sont difficiles entre les restrictions budgétaire et les enfants retirés, l'année commence mal et l'institut pourrait bien changer de propriétaire. Et pourtant la devise de l'institut ''Tu deviendras'', n'annonce t-elle pas tout un programme ?
Tout comme ma précédente lecture de Metin Arditi, j' ai encore une fois beaucoup aimé son livre. Certes la magie fut peut-être un peu plus dure à fonctionner, j'ai eu besoin d'une bonne centaine de pages pour être totalement plongé dans ce texte.
À mon sens Loin des bras est avant tout un roman fonctionnant sur une structure de huis-clos. Il mêle au fil des chapitres une mosaïque complexe de personnages, évoquant à leurs manières une forme de solitude et de détresse. À chaques chapitres, par ailleurs extrêmement court , on découvre peu à peu des caractères et des secrets. Ces découvertes ont rythmés ma lecture, et curiosité oblige je me suis laissée entraîner par l'écriture morcelé.
Entre succession d'histoire, et portraits croisés, je me suis réfugiées dans deux voir trois fils conducteurs. J'attendais donc avec impatience le retour de Vera la prof d'Italien qui cherche par tout les moyens à faire le deuil de son enfant décédé à l'âge de douze ans, de Gülgül le professeur de danse et de sport qui a quitté la Turquie il y a plusieurs années, j'attendais enfin de retrouver au grand complet l'ensemble du microcosme formant l'institut Alderson.
Et à défaut de trouver l'histoire absolument passionnante, j'ai beaucoup apprécié faire connaissance avec ses personnages si attachants ! C'est sans contexte une belle lecture que je ne regretterais pas ...
Ma note : 3,75/5
3/7